Alphonse Daudet - « La diligence de Beaucaire » comme si on y était !

20 pelaajat
  1. Le narrateur nous dit qu’ils sont cinq plus le conducteur. Cette voiture se traîne. C’est :
    • Une vraie bassine
    • Une roulote à la coule
    • Une bonne vieille patache
  2. Dedans, il y a un petit trapu poilu qui sent le fauve, un :
    • Geôlier d’If
    • Gendarme d’Aix
    • Gardien de Camargue
  3. Les deux types de Beaucaire ont des profils à l’effigie d’un grand personnage des temps anciens, mort massacré par ses propres sujets qui n’en pouvaient plus :
    • Macron
    • Sarkoza
    • Vitellius
  4. Le trapu poilu revient de Nîmes. Il a été y répondre d’un forfait. Lequel ?
    • Il a ri de Jean-Jacques Bourdin
    • Il a donné un coup de fourche à un berger
    • Il a badigeonné la Maison Carrée de matières honteuses
  5. Les deux types de Beaucaire, un boulanger et son gendre, s’engueulent à propos de la soi-disant Madone qui aurait été plutôt :
    • Garce en Palestine
    • Gourgandine à Nazareth
    • Grossiste en croix au Golgotha
  6. Mis en train par l’énervement, le boulanger s’en prend au gars à la casquette en peau de lapin, un rémouleur. Celui-ci a une femme qui est une drôle de paroissienne !
    • Elle a dévalisé les troncs d’église avec Vil-Bourre !
    • Elle a filé en Espagne avec un marchand de chocolat !
    • Elle a escamoté la retraite des pauvres au profit des riches !
  7. C’est elle qui a appris au rémouleur à jouer :
    • Du couteau !
    • Du tambour basque !
    • Sans faire de fausses notes !
  8. Selon le boulanger, la petite mignonne, vive, bien roulée, à la peau blanche et aux yeux couleur de noisette est :
    • Un repas d’écureuil
    • Un vrai morceau de cardinal
    • Une copie exacte de Claudia Cardinale
  9. Où descend le petit trapu poilu ?
    • A Arles
    • A Avignon
    • A Aigues-Mortes
  10. Au fait, puisque c’est l’occasion de parler de cette ville qu’on ne nomme pas tous les jours, qui a écrit « Le souper de Beaucaire » ?
    • Bonaperse
    • Bonaparte
    • Ni l’un ni l’autre, ça devait être quelqu’un qui avait faim ! Et c’est pas « Le souper de Beaucaire » mais « Le dîner de Mochegaza » !
C’est une nouvelle de 1868.
  • Luotu 01/01/2021
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