1. Dès le début, à la strophe II du chapitre I, on nous révèle où est né Eugène Oniéguine. Sur les bords d’un célèbre cours d’eau (Merci moi-même, j’ai vu les trois !) de la grande et belle Russie :
a L’Oka
b La Neva
c La Dvina
2. Grâce à l’enseignement d’un abbé miséreux, Eugène se débrouille parfaitement bien en :
a Français
b Allemand
c Congolais
3. A la strophe XVI du chapitre I, on voit qu’Eugène a ses habitudes dans un grand restaurant français, spécialisé dans les truffes, où il retrouve son ami Kavérine :
a « Orteil »
b « Talon »
c « Cheville »
4. Où trouve-t-on les pipes incrustées d’ambre ?
a A Tzargrad
b A Tzaritsine
c Nulle part !
5. Strophe XXVI. Quels sont les mots qui n’existent pas en russe selon l’auteur ?
a Pantalon, frac, gilet
b Pistolet, fusil, gargousse
c Politesse, franchise, gentillesse
6. Et ensuite, l’auteur doute qu’on puisse trouver en Russie trois jolies paires de :
a Pieds de femmes
b Couilles d’hommes
c Jamais de la vie, il prétend au contraire qu’en Russie, c’est comme à la Samaritaine, on trouve tout !
7. Qu’est-ce qui sort ordinairement Pétersbourg, alias Saint-Pétersbourg bien sûr, de sa longue nuit ?
a Le clairon
b Le tambour
c Le violoncelle
8. L’auteur parle de quitter la froide et triste Russie pour se rendre dans la contrée de son ancêtre :
a L’Arabie
b L’Afrique
c L’Australie
9. Qui meurt soudainement, laissant à Oniéguine un joli butin en héritage tout en attirant les curieux amateurs de funérailles et les vrais et faux amis ?
a Son fils
b Son père
c Son oncle
10. L’auteur, se croyant peut-être l’Homère d’alors, songe à composer un poème en vingt-cinq chants. Le problème principal sera très probablement :
a La censure impériale
b La grève des ouvriers typographes
c La bêtise de la poste qui perd toujours les manuscrits
